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Information ou désinformation au sujet d'une communication alternative, pour qui, combien, comment, et quand ?

 Concept de service expérimental modulaire de médecine hospitalière.


Objectif : Agrégation d’applications domotiques et informatiques adaptées à l’environnement hospitalier.

Conception modulaire évolutive conçue pour s’adapter aux spécificités de chaque service de médecine en fonction des nécessités, des priorités et des budgets disponibles.

But : Le ou les dispositifs choisis amélioreront significativement la qualité d’hospitalisation des patients ainsi que la qualité de travail des soignant tout en générant des économies substantielles sur différents postes et/ou budgets des services hospitaliers par rapport à des aménagements plus classiques.

Avertissement : Toute élaboration concrète du projet repose sur une étude économique fine de la situation existante, des gains réalisables en adoptant un ou plusieurs modules. Il est impératif de calculer précisément pour chaque poste, l'investissement, l'amortissement, la rentabilité pour chaque centime. Afin de moyenner l'ensemble de chaque projet spécifique et de présenter au client différente options en fonction des attentes de ce dernier. Des offres de délais variables d'amortissement locaux ou globaux sont vivement recommandés.

Introduction :

Les technologies à implanter dans le domaine hospitalier sont dés à présent parfaitement au point et réalisable sans difficultés, mais la mentalité des responsables du monde hospitalier; directeurs, médecins, mandarins, cadres, reste réactionnaire, patriarcale, imbue de ses privilège et de ses pouvoirs, le plus souvent liée à une réelle méconnaissance des subtilités de l’informatique médicale et des avancées de la domotique hospitalière de pointe, constitue le principal obstacle à une implantation de dispositifs susceptibles de démultiplier l’efficience des soins et les profits économiques dans le monde hospitalier, à la fois par l’apport de l’instantanéité dans l’analyse et la prise de décision, l’accroissement considérable de la puissance de travail, la réduction du risque d’erreur, le gain exponentiel en précision quantitative et qualitative dans tous les domaines.

Les applications modulaires constitutives de ce concept de service de médecine expérimentale modulaire visent en priorité à :

Sécuriser l’espace hospitalier.

Par l’implantation de dispositif de reconnaissance faciale, à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment.

Ces dispositifs existent et sont déjà en fonction dans le monde entier, il reste à les adapter aux services hospitaliers, à leur architecture, au cadre éthique et déontologique de l’hôpital.

Les propriétaires de dispositif de reconnaissance faciale responsables de l’implantation dans une unité hospitalière pourront paramétrer leur dispositif en fonction du cadre éthique et des règles déontologiques qu’ils auront choisi. En effet certains utilisateurs peuvent juger l’application liberticide dans la mesure ou chaque personne entrant dans le périmètre peut être instantanément identifiée et localisée. Cette identification précise peut s’avérer précieuse en cas d’incendie par exemple,  ou on connait le nombre de personnes présentent dans le bâtiment, on peut également les identifier et les localiser. 

Un fichier plus ou moins élaboré est constitué automatiquement à chaque entrée détectée par le système. Le système de reconnaissance relève ainsi le nombre d’entrée et de sortie de chaque personne, inscrite en temps réel sur le fichier mis à jour en permanence et sauvegardé à intervalles réguliers.

On peut ainsi reconnaitre l’identité précise de chaque personne présente dans le bâtiment, qu’il s’agisse du personnel, des patients ou des visiteurs. Stocker ces données dans des bases d’analyses est utile pour traiter de multiples paramètre, comme l’évaluation des variations du nombre de personnes dans le service en fonctions de multiples facteurs ; congés, horaires, jour, nuit, saisons etc …

 Des dispositifs d’autorisation couplés au système reconnaissance faciale, permettent également ou non l’accès aux différents locaux du service; pharmacie, salle de soins, salles d’entretien, chambres de patients, bureaux, secrétariats, cuisines, salle de bains, locaux d’entretien, etc…, puisque l’ouverture des portes est gérée par le central informatique. Un dispositif manuel d’ouverture des portes en cas de nécessité est, bien entendu, présent et fait l’objet de contrôle réguliers.

Ce système, dans un premier temps,  est plus particulièrement adaptés aux services hospitaliers, accueillant des pathologies contagieuses,  puis aux services de psychiatrie, de neurologie, de gériatrie accueillants des personnes susceptibles de s’égarer ou de se perdre.

Dans le domaine plus spécifique des soins, le dispositif optique de reconnaissance faciale sera couplé à un détecteur de température voir de fréquences multiples étendues.

En cas d’hyperthermie ou d’anomalie thermique détectée par les caméras une alerte peut être envoyée au central informatique et relayée au personnel soignant en charge de la prise en soins.

Si une personne décédée est froide, ce qui peut être détecté par un caméra thermique, on peut également être avertie au moyen d’une alerte grâce à la surveillance automatisée.

Cette identification doit naturellement modifier les conditions de travail. Un travail de réflexion et concertation plus poussé permettra de découvrir comment et jusqu’ou. tout en respectant à la fois les employeurs, les salariés, les patients les visiteurs ainsi que tous les acteurs concernés.

Faire baisser significativement la prévalence des infections nosocomiales.

On tente, ici, de limiter le plus possible tous les contacts manuels avec l’environnement hospitalier.

Pas de poignée de porte, pas de chasse d’eau manuelle, pas de robinet tactile, pas d’interrupteur électrique manuel, de poignée de fenêtre, de dispositif de fermeture manuel des volet. Tous ces dispositifs sont automatisés régie par des détecteurs infra rouge couplés des réseaux WI-FI liés à des dispositifs classiques d’automation mécaniques mus par l’électricité. Un dispositif manuel en cas de nécessité est, bien entendu présent pour chaque partie de l’environnement concerné, et fait l’objet de contrôle réguliers.

Les lits et les chariots sont automatisés eux aussi afin d’éviter les contacts manuels par le personnel qui les déplace, car le contact manuel sur le poignées ds chariots ou le montant des lits à roulettes est susceptibles de propager les infections nosocomiales.

L’entretien des sols et de toute les autres surfaces service hospitalier, murs et plafonds, lavabos, toilettes, éviers, est assuré par des robots munis d’un système d’auto entretien, limitant d’autant le risque d’infection nosocomiales pouvant être involontairement transmis par les agents d’entretien. On peut penser par exemple au passage du nettoyage de l’intérieur de la cuvette d’un WC à un lavabo, une erreur d’attention par un ou une employée généralement épuisée par la surcharge chronique de travail propre à la réalisation d’économies significative, peut entrainer un surcoût conséquent.

Il permet aussi qu’il y est moins d’acteurs non essentiels aux soins dans l’espace hospitalier.

Les spécificités des équipements choisis pour chaque service sont bien entendu adaptés aux priorités de chaque service en fonction de leurs besoin et de leur budget et du bon sens des concepteurs.

Supprimer certaines tâches répétitives du travail infirmier et les déplacement dans l’espace de travail.

Tous les outils munis de dispositifs électronique, thermomètre, tensiomètres, doivent être couplé automatiquement au dossier informatisé du patient lors de la prise des constantes et des divers examens, par dispositif, infra-rouge, bluetooth, WI-FI ou autre .… , ce qui évite un fastidieux travail de recopiage manuel des données électroniques et permet de aux soignants de gagner du temps.

Des tablettes ergonomiques connectées au dossier patient informatisé, au service intranet de l’établissement hospitalier, au réseau téléphonique, doivent équiper chaque soignant, de l’agent hospitalier au médecin chef de service, afin de faciliter le travail de communication, d’information, de collecte de données, de traitement de données. Les autorisations d’accès personnalisées, étant bien entendues gérées par le service informatique.

Améliorer la qualité de l’analyse des symptômes du patient.

Transmettre instantanément les données relevées pendant toute l’hospitalisation au chevet du patient, à la fois au dossier patient informatisé, et à des applications médicales d’aide à la prescription de médicament, d’aides à l’analyse des bruits stéthoscopiques, de lecture d’électrocardiogramme ou d’électroencéphalogramme etc… .

Le traitement automatique du langage médical sera développée sur les dossiers patients informatisés puis dans un second temps, le traitement automatique de l’imagerie. En effet il semblerait que l’analyse automatisée des vidéo réalisées dans le cadre des entretiens enregistrés en psychiatrie soit promis à un avenir fructueux.

Cela permettra de mieux gérer l’évolution des dossiers patients informatisés en fonction de l’apparition de nouvelle applications dédiés au secteur médical, au développement de la puissance de calcul, de l’ergonomie évolutive des périphériques et des logiciels corrélée à la loi de Moore.

Dossier médical informatisé,  corrélé en permanence à des bases de données sécurisées dédiée à la recherche médicale, à l’établissement de statistiques hospitalières, à l’établissement de statistiques économiques afin d’accroître significativement la rentabilité économique de ce type de service de médecine hospitalière.


Conclusion

Cette mise en application efficiente du tout ou partie du concept de service modulaire de médecine expérimentale, constitué par les multiples applications décrites ci-dessus, découlera d’un travail complémentaire commun, d’un partenariat consensuel constructif et éclairé, entre soignants, informaticiens, industriels, syndicats, créant une synergie entre les savoirs et les compétences de chacun au service de tous.

Par exemple, le pilotage du projet doit  permettre aux soignants d’entrer en relation avec les programmeurs en informatique par l’intermédiaire de concepteurs en application médicale connaissant à la fois le domaine des soins hospitaliers et le domaine informatique et robotique.

La plupart des applications décrites sont assez classiques, mais le caractère innovant réside dans leur agrégation au sein d’un service modulaire expérimental de médecine hospitalière.

Il est à noter que les soignants sont surexploités et souvent traités comme des bêtes de somme ou des esclaves, taillables et corvéables à merci. A part la notion de harcèlement sexuel qui semble évoluer vers la meilleure protection des personnes harcelées sexuellement, toutes les conditions sociales du travail se dégradent à toute vitesse. Rythmes et quantités de travail à fournir triplés en vingt ans, simultanément les salaires stagnent ou baissent, quant aux retraites il faut régulièrement cotiser plus pour toucher moins en rentes mensuelles quant arrive l’âge de la retraite, simultanément  l’inflation fait flamber le coût de la vie délabrant encore un peu plus une situation en voie de dégradation rapide. Normalement le développement des nouvelles technologies appliquées à la médecine technologique devrait induire de nettes améliorations sur la vie des soignants et c’est le contraire.

Pourquoi : Deux raisons, les patrons réactionnaires dans le domaine de la médecine n’ont pas intégrés l’apparition de l’instantanéité, de l’accélération informatique et robotique dans leur secteur.  Ils continuent pour la plupart à gérer l’univers hospitalier avec des méthodes archaïques, car ils ne savent pas faire autrement. Par exemple traiter la plupart des soignants non médecins comme des subalternes, des créatures inférieures, leur convient parfaitement. Pourquoi automatiser un lit dans ses déplacements alors qu’un subalterne peut le tracter à la main à travers tout l’hôpital ? Cette question n’effleure probablement même pas l’esprit du médecin moyen et si vous lui posez la questions il vous répondra qu’il y à d’autres priorités. Pourquoi modifier le travail infirmier alors que le service hospitalier à toujours fonctionné de cette façon ? Et bien la réponse et peut être que le service hospitalier ne fonctionne plus, que les soignants subalternes harassés crèvent d’épuisement à la tâche, on leur demande de faire toujours plus avec toujours moins dans une logique effrénée de profit.

D’un autre côté les syndicat ont quasiment disparus, et les humains après un sursaut de révolte considèrent cette état de fait comme normal, du fait d’un phénomène d’habituation bien connu sur le plan psychologique. Phénomène d’habituation utilisé sans le moindre scrupule par la hiérarchie. Et d’ailleurs si vous n’êtes pas satisfait allez travailler ailleurs, c'est ce que vous répondra le supérieur hiérarchique ou le responsable ressources humaines.

22/01/2023 Correction du début du texte ci-dessus par l'application IA chat GPT :

Le texte ci-dessus présente des erreurs de grammaire et de syntaxe. Voici une version corrigée:

Concept de service expérimental modulaire de médecine hospitalière :

Objectif : Agrégation d'applications domotiques et informatiques adaptées à l'environnement hospitalier.

Conception modulaire évolutive conçue pour s'adapter aux spécificités de chaque service de médecine en fonction des nécessités, des priorités et des budgets disponibles.

But : Les dispositifs choisis amélioreront significativement la qualité d'hospitalisation des patients ainsi que la qualité de travail des soignants, tout en générant des économies substantielles sur différents postes et/ou budgets des services hospitaliers par rapport à des aménagements plus classiques.

Avertissement : Toute élaboration concrète du projet repose sur une étude économique fine de la situation existante et des gains réalisables en adoptant un ou plusieurs modules. Il est impératif de calculer précisément pour chaque poste, l'investissement, l'amortissement, et la rentabilité pour chaque centime. Afin de moyenner l'ensemble de chaque projet spécifique et de présenter au client différentes options en fonction de ses attentes. Des offres de délais variables d'amortissement locaux ou globaux sont vivement recommandées.

Introduction :

Les technologies à implanter dans le domaine hospitalier sont désormais parfaitement au point et réalisables sans difficultés, mais la mentalité des responsables du monde hospitalier - directeurs, médecins, mandarins, cadres - reste réactionnaire, patriarcale, imbue de ses privilèges et de ses pouvoirs. Le plus souvent, cela est lié à une réelle méconnaissance des subtilités de l'informatique médicale et des avancées de la domotique hospitalière de pointe. Cela constitue le principal obstacle à une implantation de dispositifs susceptibles de démultiplier l'efficience des soins et les profits économiques dans le monde hospitalier, à la fois par l'apport de l'instantanéité dans l'analyse et la prise de décision, l'accroissement considérable de la puissance de travail, la réduction du risque d'erreur, le gain exponentiel en précision quantitative et qualitative dans tous les domaines.

Les applications modulaires constitutives de ce concept de service de médecine expérimentale modulaire visent en priorité à :

  • Sécuriser l'espace hospitalier par l'implantation de dispositifs de reconnaissance faciale à l'intérieur et à l'extérieur du bâtiment. Ces dispositifs existent et s

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BIOLOGIE ET GENETIQUE

Différence de structure ente le génotype d’une cellule souche et d’une cellule différenciée. Le phénotype, expression du génotype de la cellule, est différent selon la nature de la cellule. L’expression du génome d’une cellule hépatique est probablement différente de l’expression du génome d’une cellule osseuse. Est-il possible à partir de l’analyse génétique fine de ces deux types de cellules, d’observer des différences puis de retrouver ces différences un grand nombre de fois ? Quantification et comptage précis des cellules osseuses (os par os) à l’instant T, différenciation par comptage précis et localisation des cellules osseuses saines et pathologiques dans un cancer des os. Calcul utile pour élaborer une stratégie thérapeutique ciblée, localisée, qualitative et quantitative. Cette approche numérique pourrait intervenir en complément des analyses génétique et/ou génomiques des cellules cancéreuses pratiquées aujourd’hui en vue d’établir des traitements personnalisés. TD, PASSY 02/02/2018 repris le 05/02/2018et le 02/01/2023 à Chens Sur Léman.